Un peu de pêche, pour le plaisir !
Au milieu des sorties quotidiennes de ces derniers, temps 2 cessions se sont révélées encore plus agréables que les autres.
Il y a environ 8 jours, plantés par un client qui avait loué, l’Are Nui, un des bateau du fishing club, pour, nous sommes quand même partie entre nous pour envoyer quelques coups de jig au alentours de St Gilles.
La pêche n'a pas été euphorique mais quelques poissons ont tout de même fini au bateau et on a pu constater les progrès réalisés par « le marmaille » vedette du port ! Il en a fait du chemin depuis sa première sériole sur la petite daïwa jig entre potes, juste pour le fun !.
Au jig comme à la traîne, il assure le mino !
Le must ! Après cette matinée bien remplie et un retour tardif au port. On s'est enfilé un rapide casse croûte, avant de reparti pour un coup du soir.
Une fois de plus, la jeunesse a mis tout le monde d’accord ….
Quant à moi une belle chataigne mais le poisson s'est décroché trop vite ...
Hier, j’ai enfin eu l’occasion d’avoir à mon bord Lorien. Après moults démarches, il m’est possible d’accueillir une personne occasionnellement !
Plus habitué aux montagnes et aux sentiers qu’à la mer et au cagnard, il a passé de bons moments à bord et a rencontré quelques poissons bien différents des truites.
S’il est venu, c’est pour voir comment se pratique le « petit métier » de pêcheur artisanal. Je lui ai fait faire un tour non exhaustif des techniques mises en œuvre pour essayer de toucher du poisson, en se faisant plaisir à la canne.
Entre la traîne, la recherche d’appâts et la pêche au fond, nous n’avons pas vu la journée passer.
Le bal s’est ouvert avec la prise de 2 bonites ! Un classique mais pour un habitués des torrents et des truites, un « listao » ou deux, ça déboîte
La pêche au fond, a apporté son lot de sensations.
Entre quelques capitaines, un petit rouge et un magnifique job, nous
avons aussi eu la visite d’un squatteur, calé sous la coque, il attendait nos prises ou les bouts d’appâts tombant du bateau.
La gourmandise est parait il un vilain défaut, ce bougre de voleur l’aura appris à ses dépends !
Il nous a fait un sacré combat, piqué au circle et sur nylon, on a bien serré les fesses avant de pouvoir l’embarquer !
Pêcher à l'appât permet de toucher pas mal d’espèces différentes, ainsi en plus du pêcheur, le naturaliste a pu apprécier une multitude d’espèces. En recomptant en fin de journée, on s’est aperçu que sur durant cette sortie nous avions du croiser plus d’une dizaine d’espèces (bonite, wahoo, capitaines, mérou, job, balistes, rougets …).
A refaire dès que possible !